L'Homme sorti du néant
Cet homme est Abraham Lincoln alias Abe, 16ème Président des Etats-Unis. Il est né dans une Cabane de bois à Hodgenville, le 12 février 1809 et est mort assassiné le 14 avril 1865.
Abe n'avait pas seulement des grandes orielles. Tout était dur pour lui: sa mère était morte pendant qu'il était encore petit et son père Tom vivait comme un Indien primitif dans la forêt profonde située de l'autre côté de l'Ohio.
Ce qui nous intéresse dans la vie d'Abe, c'est d'abord le néant d'où il est sorti. Abe n'a pas fait des longues études ni beaucoup lu de livres. Mais le "peu" d'études qu'il a pu faire, il les avait bien approfondies et assimilées que sa pensée allait très loin dans bien des domaines. Il étaonnait par ses pensées claires et généreuses, ainsi que son jugement forgé par la solitude et les bons livres qu'il a pu parcourir les pages. Il avait l'amour et le respect des mots: les mots forts, les mots charmants qui habillent ou cisèlent une excellente idée.
Cependant, une chose l'emplissait de rage froide et glissait dans son regard et ses yeux toujours pleins de gaieté, un éclair d'acier: l'esclavage des noirs. Il répétait cette phrase à chaque fois qu'il voyait ce que subissaient les noirs dans les plantations du sud: "si un jour je peux m'attaquer à cette chose-là, je m'y attaquerai, et dur". C'est ainsi qu'il étudia le droit, s'interessa à la poésie qui lui fit découvrir Shakespeare, mais tout en restant attaché à la Bible comme son livre de prédilection. Au bout de ses études, il fut admis au barreau de Sprngfield à l'âge de 28 ans. Il exerça le métier d'avocat pendant 25 ans et devint célèbre. Il faudra souligner que son métier n'a pas été que du succès. Malgré sa célébrité, il n'acceptait pas toutes les causes qu'on lui proposait. «N'oubliez pas qu'il y a des choses légalement justes qui ne le sont pas moralement. je puis vous faire gagner votre procès, mais vous serez à couteaux tirés avec vos voisins, et il me semble que les six cents dollars que je vais vous faire gagner apprtiennent aussi bien à la partie adverse qu'à vous-même», avait-il dit un jour à un de ses clients. Cette position lui attira la haine de ses collègues de métier qui considéraient qu'il "gachait le métier". Et très vite, "l'honnête Abe" est devenu "le bizarre Monsieur Lincoln".
Le seul défaut que je trouve chez lui est qu'il était républicain. Mais ce qui est passionnant c'est son attitude en tant qu'homme politique vis-à-vis de l'esclavage dont les conditions sont décrites par Madame Beecher-Stowe dans la Case de l'Oncle Tom. Abe avait l'esclavage en horreur. Il ne supportait le fait qu'un être humain puisse être la "chose" d'un autre. Dans notre prochain article nous esquisserons le combat de cet homme contre cet épouvantable crime contre l'humanité.
Abe n'avait pas seulement des grandes orielles. Tout était dur pour lui: sa mère était morte pendant qu'il était encore petit et son père Tom vivait comme un Indien primitif dans la forêt profonde située de l'autre côté de l'Ohio.
Ce qui nous intéresse dans la vie d'Abe, c'est d'abord le néant d'où il est sorti. Abe n'a pas fait des longues études ni beaucoup lu de livres. Mais le "peu" d'études qu'il a pu faire, il les avait bien approfondies et assimilées que sa pensée allait très loin dans bien des domaines. Il étaonnait par ses pensées claires et généreuses, ainsi que son jugement forgé par la solitude et les bons livres qu'il a pu parcourir les pages. Il avait l'amour et le respect des mots: les mots forts, les mots charmants qui habillent ou cisèlent une excellente idée.
Cependant, une chose l'emplissait de rage froide et glissait dans son regard et ses yeux toujours pleins de gaieté, un éclair d'acier: l'esclavage des noirs. Il répétait cette phrase à chaque fois qu'il voyait ce que subissaient les noirs dans les plantations du sud: "si un jour je peux m'attaquer à cette chose-là, je m'y attaquerai, et dur". C'est ainsi qu'il étudia le droit, s'interessa à la poésie qui lui fit découvrir Shakespeare, mais tout en restant attaché à la Bible comme son livre de prédilection. Au bout de ses études, il fut admis au barreau de Sprngfield à l'âge de 28 ans. Il exerça le métier d'avocat pendant 25 ans et devint célèbre. Il faudra souligner que son métier n'a pas été que du succès. Malgré sa célébrité, il n'acceptait pas toutes les causes qu'on lui proposait. «N'oubliez pas qu'il y a des choses légalement justes qui ne le sont pas moralement. je puis vous faire gagner votre procès, mais vous serez à couteaux tirés avec vos voisins, et il me semble que les six cents dollars que je vais vous faire gagner apprtiennent aussi bien à la partie adverse qu'à vous-même», avait-il dit un jour à un de ses clients. Cette position lui attira la haine de ses collègues de métier qui considéraient qu'il "gachait le métier". Et très vite, "l'honnête Abe" est devenu "le bizarre Monsieur Lincoln".
Le seul défaut que je trouve chez lui est qu'il était républicain. Mais ce qui est passionnant c'est son attitude en tant qu'homme politique vis-à-vis de l'esclavage dont les conditions sont décrites par Madame Beecher-Stowe dans la Case de l'Oncle Tom. Abe avait l'esclavage en horreur. Il ne supportait le fait qu'un être humain puisse être la "chose" d'un autre. Dans notre prochain article nous esquisserons le combat de cet homme contre cet épouvantable crime contre l'humanité.